texte de Clémentine Beauvais
Sarbacane, 2016
« Parce que leur histoire ne s’était pas achevée au bon endroit, au bon moment,
parce qu’ils avaient contrarié leurs sentiments,
il était écrit, me semble-t-il, qu’Eugène et Tatiana se retrouvent dix ans plus tard,
sous terre,
dans le Meteor, ligne 14 (violet clair), un matin d’hiver. »
Que dire d’un roman mainte et mainte fois chroniqué, disséqué, digéré, recraché… ?
Faut-il rajouter son ressenti face à cet ovni littéraire où une banale histoire d’amour devient une épopée romanesque ?
Devrais-je appuyer le talent de Clémentine Beauvais à transcender la langue française, à apporter une originalité graphique dans un roman sans image ?
Dois-je saluer l’audace éditoriale, le caractère singulier d’une telle proposition ?
Bref, quel intérêt d’une chronique supplémentaire sur Songe à la douceur ?
Aucun. Lisez le roman. Vous comprendrez.
Challenge Young adult 7 chez Muti 4/80
Challenge Objectif lecture 2016 sur ce blog
Pour en savoir plus :
@ la lecture commune à son propos A l’Ombre du Grand Arbre
@ le site internet de Clémentine Beauvais
@ à découvrir de la même autrice sur le blog : On n’a rien vu venir ; La Louve ; Lettres à mon hélicoptètre
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Bonus :
un livre libérateur
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Une chronique des plus succinctes et efficaces.
J’avais été aussi épatée par tout le talent de l’auteur.
https://aumilieudeslivres.wordpress.com/2016/08/23/songe-a-la-douceur-clementine-beauvais/
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Clair et concis ! 😀
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Merci.