scénario de François Corteggiani
dessins de Mathilde Domecq
Casterman, 2017
Saint-Pétersbourg, début du XXe siècle.
Balthazar s’enfuit de l’orphelinat pour échapper aux sbires du terrible Raspoutine. Poussé toujours plus au Nord par ses poursuivants, le jeune garçon atteindra les confins de la Sibérie, où il découvrira à la fois le secret de ses origines et comment contrer les pouvoirs maléfiques du maître des ténèbres. [résumé éditeur]
Repérée il y a pas mal de temps sur les blogs, j’ai enfin pris le temps de découvrir cette BD jeunesse qui mélange les genres. Construite à la manière des contes, elle nous entraine avec le jeune Balthazar dans la Russie de Raspoutine autant que dans le monde fantastique de Baba Yaga.
Corteggiani a construit un univers complexe et angoissant dans lequel on ne sait jamais à quel personnage se vouer. Car si Balthazar en rencontre un certain nombre au cours de sa quête, il n’est jamais tout à fait certain de ce qu’il en résultera… Ce tome unique est riche en aventure et en rebondissement (un peu trop peut-être) et ne laisse donc aucun temps mort (même pas pour prendre le temps de recentrer le récit ou d’expliciter certains passages).
Du côté des dessins, on retrouve le style bien installé de Mathilde Domecq, entre personnages loufoques et travail fascinant sur les couleurs.
Mon avis final est donc mitigé, car j’ai bien aimé les intentions mais ai trouvé le résultat final un peu confus...
Une participation à la BD de la semaine chez Moka
Pour en savoir plus :
@ les avis de et la Soupe de l’espace
@ les premières planches à feuilleter
@ le site de Mathilde Domecq
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Bonus :
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à voir si je la trouve en bibli éventuellement!
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Tu es un peu tiède… pas certaine de tenter la découverte du coup…
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J’aime bien le trait, mais ce que tu dis du rythme de l’histoire ne donne pas forcément envie d’aller voir plus loin…
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Si je croise son chemin, je tenterai 🙂
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Ah dommage…
Je la lirai tout de même si je la croise
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Trop de précipitation dans le récit, cela nuit toujours à la fluidité de l’histoire, dommage…