Depuis que son père a quitté la maison pour être une femme, la mère d’Asuka lui a fait promettre de devenir l’archétype du mâle. Aussi l’adolescent est-il devenu le champion national de kendo, il est fort, viril et en apparence déteste tout ce qui est assimilé à la féminité. Car dans son cœur, Asuka est un Otomen : il adore tout ce qui est mignon, la couture et la cuisine.
Pour le coup on entre directement dans les clichés de la société japonaise. Avec Asuka, on comprend vite les codes liés à la virilité et la féminité au Japon. On se rend compte du malaise du jeune homme qui ressemble plus à une jeune fille en fleur qu’à un kendoka confirmé (et qui sert d’ailleurs d’inspiration à son meilleur ami mangaka, sans le savoir). Il est alors normal qu’Asuka tombe amoureux d’une fille plutôt garçon manqué, nulle en cuisine mais qui assure pour chasser les fantômes. 😉
J’ai vraiment beaucoup aimé l’esprit de ce shojo très humoristique. Il se moque des codes japonnais avec splendeur et le trait d’Aya Kanno apporte beaucoup à la fraîcheur qu’il s’en dégage.
Un grand remerciement à Val qui me fait découvrir ce titre
Il me permet en même temps d’avancer dans le Challeng’Ô Swap
et dans le défi lecture de février et de mars.
PS. J’arrive à un moment crucial de l’histoire où Asuka a déclaré ses sentiments mais ne sort pas encore avec l’être aimé. Vivement la suite !
Pour en savoir plus :
@ l’avis de Miaka
@ la fiche manga-news de la série avec la critique de chaque tome individuellement
@ Otomen est aussi devenu un drama à découvrir ici
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Bonus :
l’affiche du drama Otomen
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Je suis contente qu’il t’ait plu car je ne m’y connais pas en manga, j’avais dû lire attentivement les avis sur le net.
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merci encore pour toutes ces recherches, elles n’ont point été vaines…